Même si tous les types de sociétés ont de plus en plus besoin de recourir à l’infogérance, les entreprises qui en sont le plus friandes sont celles de petites et de moyenne taille, en particulier, des entreprises qui nécessitent des standards élevés en matière de flexibilité, de fiabilité ou encore, de sécurité informatique.
C’est dans les années 90 / 2000 que les systèmes d’information ont commencé à évoluer et que les entreprises ont considéré les outils informatiques comme de véritables leviers de performance.
Face à une concurrence qui s’intensifie et se mondialise, l’informatique de l’entreprise et la gestion de ses flux de données représentent des avantages concurrentiels certains, tant pour la productivité et l’innovation que pour la veille ou la prospective.
L’infogérance dans tout ça ?
Les systèmes d’information se sont donc densifiés et complexifiés. Au fur et a mesure que les compétences des collaborateurs en matière d’informatique progressaient, leurs besoins et leurs revendications évoluaient.
Dans ce schéma, l’infogérance, c’est ce qui a permis aux petites entreprises, aux start up, aux PME, de s’affranchir des contraintes de la gestion d’un réseau informatique, de la présence d’une équipe interne sur site, voir même, de la présence du matériel informatique sur les locaux de l’entreprise lorsque l’on parle d’externalisation.
L’infogérance a ainsi permis a ces structure de gagner en indépendance et en flexibilité, contrairement à toutes les idées reçues qui pourraient circuler sur la chose.
Bien entendu, le client doit établir un cahier des charges précis avec son prestataire, effectuer un audit détaillé, et vérifier chacun des éléments du contrat de maintenance, qui sont tout autant de critères nécessaires pour choisir son partenaire d’infogérance avec prudence.
Mais l’infogérance, c’est quand même et avant tout pour ces structures la possibilité de disposer d’un système informatique qui n’a rien à envier aux grandes entreprises, tant en terme de de fiabilité et de performance, que de coûts, puisque chez le prestataire les coûts sont mutualisés.